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Par ici les mots doux...

 

L'émoi des mots:

A la croisée des routes de son camion bleu

Dans une France confinée, reconfinée, masquée par décret et finalement retranchée derrière son égoïsme émergent, Victoria, au volant de son camion bleu a sillonné les routes de l’hexagone pour rencontrer, échanger, partager des valeurs simples parce que naturellement humaines. Dans un road-movie d’élégance, elle a troqué, aux détours des chemins, ses notes diatoniques contre des souvenirs de chansons anciennes ou oubliées. Elle a accordé sa voix à d’autres vibrations et sonorités suaves d’autres cordes, cuivres ou vents.

Je te donne, tu me donnes, donnons-nous les uns aux autres et partageons nos émotions.

L’artiste est talentueuse. Elle a bourlingué et trainé ses bottes et sa gouaille sur bien des chemins parfois tortueux de Toulouse au Chili. Alors, on y croit quand elle nous dit qu’elle ne ment jamais.

Le ton monte en gamme avec l’arrivée surprise de deux prodiges, un au hautbois (Clément Lafargue) l’autre à l’accordéon (Lolita Delmonteil). Ça sent la jeunesse forte, la jeunesse qui ne triche pas, qui relève le défi pour prendre, ensemble et enthousiaste, son avenir en main. On respire à plein poumons cette amitié sincère et familiale du clan toujours magique des bons musiciens. Du fond du cœur, personne n’a pu retenir la larme d’émotion au final à trois, sans rappel mais chargé à nouveau d’espérance.

Merci les jeunes de nous faire autant de bien en colorant le terne de nos lendemains auxquels, jusqu’à hier encore, on ne croyait plus beaucoup.

Aujourd’hui, le ciel est bleu comme une orange dans le verger où dort le chien, l’hiver est chaud et ensoleillé. Il fait beau vivre à Bélus, toujours en lutte pour sauver nos valeurs essentielles, désormais gravées par Victoria au fronton des belles rencontres, à la croisée des destins de son camion bleu.

"Troc de chansons"

BELUS 16 février 2025

Bernard Matharan

L'EMOI DES MOTS

Nos Enchanteurs

"Venue du théâtre de rue, la pétulante Victoria
Delarozière, coupe au carré à la Louise Brooks, petite robe noire
et gros godillots, fout un adorable bordel sur scène"
Nos Enchanteurs

Ouest France

"Le monde de Victoria Delarozière est caustique et plein
d’humour. Entourée de beaux garçons et armée d’un accordéon,
la jeune femme interprète ses propres chansons, en français,
avec un air mutin à faire craquer tout le monde."

Le Nord Littoral

"Chansons tendres au vitriol...Victoria est un pétard d’énergie
qui vous éclate dans les mains. Elle a l’humour franc et enfants
et la fraicheur d’une course de caddie". Double-cliquez sur la zone de texte ou cliquez sur « Modifier le texte » pour ajouter votre contenu.

Nos Enchanteurs

 

C’est une belle tornade brune qui déboule sur scène ensuite : venue du théâtre de rue, la pétulante Victoria Delarozière, coupe au carré à la Louise Brooks, petite robe noire et gros godillots, fout un adorable bordel sur scène, se déchaine au piano évoquant irrésistiblement, d’ailleurs, la  Jeanne Cherhal  période longues nattes (remember again !). A suivre de près, assurément, et on lui pardonnera même d’avoir, sur un titre, jeté son dévolu sur votre serviteur pour abuser de lui sur scène…
Patrick Engel, magasine « NosEnchanteurs »
http://www.nosenchanteurs.eu/index.php/2015/06/21/manufacture-chanson-le-jour-j/


 

Festival Bernard Dimey

 

Elle chante aussi la crieuse "Victoria ne fait pas que crier les
mots des autres. Sans sa camarade des crieuses publiques elle
a chanté ses mots à elle... L'écriture est subtile et ménage
souvent une chute inattendue. Là encore, les « mecs » en
prennent pour leur grade. Gentiment. Affectueusement
Festival Bernard Dimey

Doué-en-Anjou.

 

Deux ambiances de chanson française
Deux trios se sont succédé sur la scène du théâtre Philippe-Noiret samedi 1er février, dans des ambiances radicalement différentes.
En ouverture, Victoria Delarozière enflammait d’emblée les planches avec son acolyte Jo Zeugma à la contrebasse. Accrochée à son piano à bretelles, elle a invité la 3e pièce du trio, Marta dell’Anno, à les rejoindre avec son violon pour un set endiablé. Dotée d’une énergie débordante et d’un bagou à l’avenant, la chaleureuse Victoria s’est rapidement mis le public dans la poche. Son talent a fait le reste.
De la salle à la scène, elle bondit et joue avec le même plaisir communicatif et séduit autant par sa personnalité que par sa virtuosité. Une belle entrée en matière, qui s’est poursuivie dans un climat plus rock.
En seconde partie, le blond et néanmoins ténébreux Nicolas Jules a investi l’espace dans un clair-obscur qui se mariait bien avec ses chansons d’amour baroques.
Musicien inclassable et libre, allure juvénile et humour second degré, il n’hésite pas à bousculer le public, qui hésite entre surprise et perplexité. Ses deux complices, un gros dur à mi-chemin entre le catcheur et le métalleux, un ours mal dégrossi aux pattes délicates, caressent ou martèlent leurs instruments avec force grimaces et jeu de scène, ajoutant à l’originalité du trio.
Deux spectacles étonnants et réjouissants pour une soirée dédiée à la chanson française hors des sentiers battus.


 

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